Si j’ai peu d’affinité avec le rendu (non avec le thème, le genre) au moins, lui, peint, et s’il peint, je peux, apprendre. Quand on regarde, si c’est peint, quelque chose reste, ne s’en va pas. Ce n’en est jamais très conscient. Si c’est peint quelque chose ne s’efface pas. La peinture doit nous ravir ; c’est sa loi. On oubli bien sûr, mais ce n’est que nappe percée. Ce n’est pas le souvenir qui fait retour mais le corps lui-même. « Corps comme troisième. » ... lire la suite
Lire en amont
« lisière d’un excès parce que la forme n’est pas dans la chose l’amour touche au trait et au nombre et s’en exclu tout comme ta chevelure »